La chasse est bien plus que le meurtre sauvage d’un animal innocent comme certains se plaisent à le décrire. Il s’agit d’un art. Le suspense de la traque, le choix de l’attaque font partie de ce qui fait la beauté de la chasse. En plus, les règlementations en vigueur régulent la pratique, pour qu’elle contribue positivement à l’équilibre naturel.
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Chasser au Maroc pour jouir d’une grande liberté et nouer des relations
Au Maroc, les chasseurs sont plus libres. Ils disposent du droit de pratiquer dans des territoires ouverts. Il est très intéressant de choisir le Maroc pour destination de chasse. D’abord, ce sport y possède des racines profondes. La pression venant d’organisations contre cette pratique se fait donc moins sentir. Par ailleurs, le pays compte sur les revenus générés par ce loisir pour booster son économie. En effet, outre les permis de chasse et les taxes, le sport renfloue les armuriers, les vendeurs d’accessoires, etc. Au total, c’est des milliards de chiffre d’affaires qu’occasionne cette activité chaque année.
Il y a des sites d’exception pour chasser diverses espèces d’animaux au Maroc. C’est le petit gibier qui prédomine dans ce pays. Les adeptes s’en vont chasser en organisant des mini-battues. Les chiens d’arrêt s’utilisent quand la cible est la caille ou le perdreau. À part cela, les bécasses et les canards constituent des trophées célèbres dans le pays. Les chasseurs chevronnés apprécieront de partir à la poursuite du lièvre. Pour ce qui est des grands gibiers, seul le sanglier reste présent sur le territoire marocain.
Partir traquer les big five dans la sauvage Afrique du Sud
En Afrique du Sud, les cibles sont nombreuses. Les touristes doivent choisir un forfait, selon le type d’animal qu’ils souhaitent chasser. Certaines agences ne proposent que des antilopes, par exemple. D’autres ont plus de largeurs, et permettent à leurs clients de traquer des lions. Nous conseillons aux voyageurs de demander à consulter la liste avant de se décider. Mais choisir l’Afrique du Sud, c’est s’assurer une expérience enrichissante et jamais décevante.
Encore une fois, il ne s’agit pas de tirer à tout va sur le premier animal venu. Les touristes qui souhaitent s’adonner à ce sport doivent s’adresser à des agences spécialisées. Ces dernières connaissent les lois applicables à chaque pays. En effet, elles ne sont pas les mêmes partout. En outre, les taxes à payer pour chaque animal varient également, même sur un seul territoire. Les professionnels incluent ces suppléments pour ceux qui veulent visiter afrique du sud dans le budget safari. L’avantage, c’est que ces taxes servent en général à assurer la protection des animaux contre le braconnage. Cela apaise la conscience, et rééquilibre la chaîne alimentaire. Par ailleurs, il y a un nombre de faune à tuer à respecter. Les guides sauront débusquer les animaux malades ou âgés à chasser, afin de préserver l’écosystème.
Dépaysement et aventure assurés lors d’une partie de chasse à Madagascar
Cette île est réputée pour ses richesses naturelles. La faune y est variée. Cependant, il est recommandé de s’adresser à des tours opérateurs afin de chasser en toute quiétude. En effet, ces professionnels seront à même de régler toutes les formalités douanières et administratives. Toutefois, il est permis et même conseillé d’apporter ses propres cartouches. Il peut être relativement difficile d’en trouver qui conviennent. Les gibiers terrestres les plus communs sont les canards et les sarcelles.
Une activité très intéressante à faire à Madagascar est la chasse sous-marine. Certaines agences de voyages incluent la pratique de plusieurs techniques que les amateurs peuvent adopter. L’agachon s’apparent à la pratique de la chasse terrestre. Le traqueur attend et se cache jusqu’à ce qu’un poisson s’approche suffisamment pour l’attraper. Certains préfèrent fondre sur leur proie depuis le haut. Cela s’appelle la coulée. En effet, la majorité des poissons voient mal au-dessus d’eux.